PROJET DE PUBLICATION D’UNE ETUDE SUR LA MISE A MORT
(évidement lors de la publication, je rendrais anonyme certains éléments du texte par respect de ma famille)

Ce temps de confinement fut propice à la réflexion. Voilà presqu’un an, depuis juillet que ma sœur m’a ouvert la porte à un cauchemar. Elle m’a demandé de lui faire une commande sur internet, je fut d’accord, mais lorsque je lui demandais sa carte bancaire elle refusa et prétextât que je devais payer avec la mienne, car un paiement par carte sur internet avait des risques. Cette femme est dotée d’une grande intelligence, sachant discerner le bien du mal. En somme pour elle, je devais prendre pour elle les risques d’un paiement sur internet. Ce n’était pas de sa part un acte d’insouciance, mais un acte de dégradation de ma personne. Devant mon refus non pas de lui rendre service, ni même de prendre un risque, car je sais qu’il n’y en pas, mais de subir un sévices psychologique de sa part, elle évoqua des dons qu’elle faisait à mon association. Dire à un pauvre que l’on va lui réduire ses revenus est aussi un sévices.

Je ne savais pas pour quelle raison, mais je fus prit d’un grand effondrement psychologique. Ce qui était le plus dur pour moi fut que les autres membres de ma famille trouvaient cette situation très banale. En effet cette situation prise à part était banale. Mais elle avait provoqué en moi un grand choc. Depuis je vis mon état de santé se dégradé, une augmentation de ma tension artérielle, une prise de poids et une incapacité de faire les choses les plus élémentaires de ma vie. En septembre j’ai donc décidé de consulter un psychiatre. D’habitude l’on consulte un tel praticien une fois par mois, j’ai besoin de le faire au moins tous les quinze jours et par fois une fois par semaine. Les forts, les puissants, ceux qui disent : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ? (Mt 7,22) Ceux à qui le bon Jésus dira : maudits, allez au feu éternel, qui a été préparé pour le diable et pour ses anges. (Mt 25,41) ceux-là ne peuvent pas comprendre la souffrance du petit qui se fait écraser. Pour eux si le petit souffre, c’est qu’il est faible, c’est qu’il ne fait pas d’effort, c’est qu’il est presque coupable d’être petit.

En décembre j’ai demandé par l’intermédiaire de ma belle sœur qu’elle puisse me faire un chèque car j’étais en grande urgence financière, elle refusa. En janvier j’ai contacté une nièce pour lui demander d’intervenir auprès de la fille du diable. Lui disant que j’étais en grande détresse financière, et très meurtrie psychologiquement et dans l’incapacité de prendre contact avec elle, car elle m’évoquait des terreurs. Une phobie incontrôlable. J’avais précisé qu’entre chrétiens s’il peut y avoir des querelles, celles-ci se résolvent toujours et que tôt ou tard je me réconcilierais avec elle. Maintenant je pense qu’une telle réconciliation est impossible, car elle n’est pas chrétienne. La réponse qu’elle fit à nièce m’a provoqué un grand choc. Elle m’a ouvert les yeux sur la réalité et m’a permis de mieux voir le cours de ma vie de mon enfance à maintenant. Elle lui a dit que je faisais une fraude aux allocations logement, et qu’elle voulait en avoir sa part et que toujours j’ai été un capricieux, et qu’elle a toujours été la seule à s’opposer à mes caprices.

Parlons de suite à la fraude aux allocations logements. Ces allocations sont de 150 €, alors qu’un bénéficiaire du RSA a normalement droit à 250 €. Mais lorsqu’il est en collocation avec une autre personne, la CAF ne demande pas si lui même a payer sa part de loyer, mais demande un justificatif du bailleur pour voir si le loyer a été payé. Elle m’accuse de fraudes aux allocations… Initialement il était prévu qu’elle fasse un don à mon association, supérieur aux allocations, le même montant serait considéré comme commission occulte. Mais maintenant elle veut me faire un don équivalent aux allocations, et exige un reçu fiscal. En somme elle veut faire une fraude fiscale, cela est grave, sous prétexte qu’elle veut sa commission. A un prêtre qui la connaît je lui en ai parlé, il m’a dit : mais c’est incroyable Madame Konstantinoff se comporte un peu comme un malfrat, elle vous dit : je veux ma part du magot.

Elle m’accuse auprès de ma nièce et filleule de fraudes aux allocations, cela a été pour moi un grand choc une grande blessure mais qui m’a ouvert les yeux… Elle a décidé de commencer une querelle sur les fraudes aux allocations, elle est très mal placée pour cela. Oui cela m’ouvert les yeux sur la fraudes aux allocations adultes handicapés qu’elle a effectué pendant des décennies.

Pendant très longtemps j’ai eu une grande considération de ma sœur, et de toute ma famille. Mon rêve fut toujours de devenir riche pour pouvoir aider ma famille. Je voyais cette fille avec ses souffrances de la vie. Elle est née première d’une fratrie comme fille. Ce n’est pas facile, les parents attendent toujours un garçon, même s’ils disent le contraire. Les filles aînées commencent souvent leur vie avec une blessure. Sa chance fut d’avoir un premier frère, et de manifester envers lui un pouvoir de possédance. En psychologie c’est une réaction naturelle d’une fille envers son frère et son père. Ce qui cause des conflits avec la mère. En fait cette fille a toujours eu envers sa mère une haine au point en finalité de la faire mourir. Je m’aperçois maintenant que ce frère fut sa seule raison de vivre. Normalement les petits garçons s’amusent avec les petits garçons, je viens de m’apercevoir que dans mon enfance ma sœur était avec mon frère et moi seul, en état d’exclusion. M’exclure pour cette fille était fondamentale, afin de garder son frère à elle.

Ma chère petite maman m’a raconté plusieurs fois son accouchement. Cela s’est passé pendant l’état de guerre qu’il y avait en Algérie. La naissance devant se faire par césarienne il fallut un convoi militaire pour l’amener à l’hôpital. Au retour, les parents étaient pressés de revenir, ils ont prit un taxi conduit par un français musulman. Ma petite maman m’avait résumé la situation : papa était à la place passager avec sa mitraillette dirigé vers le chauffeur, il lui avait dit : « tu n’a pas intérêt à t’arrêter pour nous faire tuer par des félagas, sinon je tire sur toi » car dans plusieurs cas des pieds noirs furent tués par la collaboration de chauffeurs de taxis. Et ma petite maman de continuer : il me donna son pistolet, et me dis : « s’ils nous arrêtent pour nous tuer, tire sur l’enfant et tire sur toi, ils ne doivent pas nous avoir vivant. Pendant tout le voyage, dans un bras j’ai serré Chantal, et dans l’autre main je n’ai pas lâché le pistolet. » Pour une personnes normale, cela aurait impacté négativement sa vie. Mais cette fille dès sa naissance fut forte, elle a pleinement réussi sa vie dans ce monde, elle avait une prédisposition de prédateur, cela l’a aidé. Je me souviens aussi des tristesses de maman qui me rappelait ses souvenirs du début en Corrèze, elle me disait que sa fille revenait de l’école avec des crachats sur le dos. Ce sont des choses qui marquent, même si cette fille ne voyait pas ce qui lui avait été fait dans le dos. Un élément de trouble psychologique elle était en surpoids on l’appelait Bouboule. Chose qui pour une petite fille et par la suite une jeune fille était traumatisant. Elle a été laissée trop jeune et trop seule pour ses études de médecine lorsque nous sommes parti à Tahiti, je crois qu’elle avait 17 ans. Ce fut l’échec pour cette fille brillamment intelligente. Elle devint infirmière psychiatrique, et suite à un accident du travaille elle devint handicapé. Me rappelant ses symptômes je me dis que ce n’était qu’une très grave dépression ce que l’on appelle un burn out.

Cette fille d’une exceptionnelle intelligence ne supportait pas sa vie d’infirmière ou elle voyait au dessus d’elle des médecins avec des capacités inférieurs aux siennes. Je ne pense pas qu’elle avait simulé, mais elle s’est servi d’un accident du travail pour se lancer dans la fraude aux allocations lui permettant de gagner à peu prêt 4 000 € par mois. Elle a donc fait un séjour à Moissac avec sa mère qui lui a manifesté le plus grand amour qu’une mère peut donner à sa fille. J’ai eu souvent au téléphone ma chère petite maman qui me parlait en pleurant de sa « petite fille ». Cela n’enleva pas dans le cœur de cette fille la haine qu’elle avait envers sa mère.

Très rapidement en vivant sur les revenus de sa mère, ne dépensant que le stricte minimum elle s’est constitué une cagnotte de plusieurs centaines de milliers d’euros. Mais surtout d’avoir l’image de la faible femme pieuse, ayant de grands revenus, de grandes liquidités en banque et une soit disant santé qui ne lui donnait pas longtemps à vivre. Autant d’arguments pour être un grand objet d’attention de beaucoup. Maintenant, en voyant la perversité et méchanceté qu’elle a eu envers moi, je suis sur qu’elle a fraudé aux allocations pendant des décennies. Elle simulait tous les mois pendant quelques jours une maladie imaginaire. Personne n’a jamais su ce qu’elle avait, elle restait à rien faire dans son lit sans manger. Elle refusait tout traitement. Elle avait trouvait un psychiatre bienveillant pour lui renouvelait ses droits aux allocations. J’ai discuté d’elle avec un psychiatre dernièrement, il m’a dit qu’un malade mental se caractérise par des internements réguliers, des troubles de poids, ou d’alcool, ou de drogue, une mauvaise gestion de ses finances, un désordre dans son lieu de vie. Ce que je lui décrivais ne pouvait être qu’une simulation pour frauder aux allocations adultes handicapés.

Ainsi elle pu s’installer prêt de chez mon frère et sa famille. Je dirais dans une volonté de possédance. Il y avait déjà deux enfants, qu’elle n’appréciait pas. Je me souviens déjà dans les Landes elle m’avait dit que le fils ainé irait en enfer. Je fus effrayé et je lui dis qu’une telle annonce était effrayante. Les deux enfants qui suivirent, elle œuvra pour en devenir la seconde maman, ou peut-être même la première. Comme souvent dans les familles des classes socio-professionnelles moyennes, les deux premiers enfants sont l’objet d’une attention particulière. Les parents font des efforts pour leur faire apprendre des mots, l’on pourrait dire les pousser pour qu’à l’avenir ils fassent des études. A partir du troisième enfant l’on s’aperçoit que ce dernier n’est pas fait pour les études. Pour le troisième enfant, une fille, elle eu donc dans la tête très jeune de faire coiffeuse. Ce fut ma sœur qui s’occupa d’elle. Je me souviens que souvent cette petite nièce disait à sa maman qu’elle était malade, et ne pouvais pas aller à l’école, sa maman lui disait que c’était important d’y aller. Elle allait voir sa tante, qui allait voir le père, qui décidait que la petite fille n’irait pas à l’école. Ainsi la tante œuvrait à saper l’autorité de la mère. Pour le quatrième enfant, un garçon, elle demanda de pouvoir s’en occuper de lui faire l’école à la maison pendant deux ans. Je me souviens de ce petit garçon qui souvent arrivait en pleurant, ce n’était pas un moment de joie pour lui. Les deux enfants suivants purent être élever complètement par leur maman. La tante par la suite fit payer à la dernière fille le fait qu’elle ne fut pas éduquer par elle. La cohabitation qu’elles eurent ensemble à Vichy, au domicile de la tante a pour moi été une vraie honte. Sous prétexte que cette jeune fille ne se soumettait pas corps et âme a elle, elle lui a fait vivre un séjour très malsain. On n’aurait pu s’attendre qu’une fois par semaine, ensemble elles aillent se faire un petit restaurant ou salon de thé, et une fois par mois la tante aurait fait avec sa nièce du shoping. Il n’en fut rien, la tente venait en cachette prendre la nourriture de sa nièce, et fouiller dans ses affaires et allait se plaindre au père que sa fille faisait des dépenses excessives en vêtements. Alors que cette gentille nièce a très bon gout réussissait a s’acheter à très bas prix des vêtements élégants.

Avant je lui donnais toutes les excuses, mais depuis ce que m’a rapporté la nièce qui est intervenue auprès d’elle, je me suis aperçu qu’elle est méchante. Et aussi il y a pas si longtemps, avant les deux premiers mariages de la famille. Ma sœur me répétait que le premier mariage ne marcherait pas, car la future épouse était orgueilleuse. De même pour le deuxième mariage c’était le futur époux qui était un incapable. Mais il y avait comme une jalousie de vielle femme envers de belles jeune fille. Aussi lorsque les futurs mariés ont décidé d’acheter une maison. A cette femme qui a l’équivalent de plusieurs milliers d’euros sur son compte en Suisse, je lui suggéré d’aider ce couple. Elle m’a répondu : cela ne sert à rien car leur couple ne marchera pas.

Fille du diable, menteuse et meurtrière. Ainsi vous pourrez voir tout chrétien qui fait souffrir son prochain. Notre Seigneur en donne la description : Vous avez le diable pour père, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été homicide dès le commencement, et il n’est pas demeuré dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds, car il est menteur, et père du mensonge. Jn 8,44. L’on pourrait ainsi résumer : pourquoi cette sœur chrétienne est fille du diable, parce qu’elle est menteuse, et elle est menteuse car elle dit aimer le Dieu qu’elle ne voit pas et ne pas aimer le frère qu’elle voit, et elle est meurtrière car en aimant pas son frère elle le fait souffrir et en le faisant souffrir elle le tue.

Ce que m’a dit ma nièce qui est intervenu m’a permis de revoir ma vie depuis mon enfance jusqu’à maintenant. Et je me suis rappelé de mon enfance. Le profil psychologique que l’on pourrait faire de moi est incohérent : timide, je restais toujours seul ; colérique, j’éclatais de colère pour des choses bénignes, serviable, c’était moi qui faisait les courses ; actif, je faisais la cuisine et du bricolage. L’on pourrait dire qu’en psychologie, chez les garçons il y a deux profils : celui d’Esaüe l’aîné, et celui de Jacob le cadet. L’aîné est plus fort et actif, il est chasseur, il plait au père. Le cadet est plus réservé, il reste à la maison avec sa mère et fait la cuisine. Bon la Bible nous montre que le cadet se doit d’être discret. Souvenez vous de l’aîné Caïn qui tua son cadet Abel, de l’aîné Esaü qui fit fuir son cadet Jacob, des fils aînés d’Israël qui vendirent leur cadet Joseph, des fils aînés de Jéssé qui oublièrent que leur petit frère David pouvait devenir roi, du frère aîné du fils prodigue qui reprochât à son père sa miséricorde. Nous nous trouvons devons un automatisme biochimique. Tous ces aînés agirent avec certitudes de faire le bien. Je pense quand même, que dans le cas de Caïn, il y a dû y avoir une grande sœur perverse pleine du désir de faire souffrir, qui dirigea le bras de l’aîné sur le cadet. Caïn, comme tous les aînés est moins futé que les cadets, mais il n’était pas méchant. Il fit repentance, pénitence, fut relevé de sa peine de vagabondage et pu fonder une ville et eu une prestigieuse lignée. Heureusement, tout ne se passe pas toujours comme cela, nous le voyons avec les enfants d’Amram. C’est grâce à sa sœur ainé Myriam que son petit frère Moïse sera confié à la fille du pharaon. Et lors de la bataille des Amalécites, Aaron le frère ainé, et Hur époux ou fils de Myriam vont soutenir les mains du cadet. Aaron qui n’eu pas la peur de perdre son rang se vit confirmer autorité familiale par son rang de grand prêtre. Et l’Ecriture sainte lui donne une postérité, alors qu’elle ne le fait pas pour son cadet Moïse. Bon en règle générale les aînés sont dans l’incapacité d’approcher la souffrance des cadets qui pour eux est un caprice, une faiblesse. Et cette négation de l’aîné de la souffrance du cadet n’est que la continuité de la mise à mort de Caïn sur son frère Abel.

Allons un peu en avant dans mon existence. Avant cela je vais évoquer une expérience qui porte sur des œufs de goélands : [Noguera – Velando 2019]. Des œufs à qui on leur fait entendre des enregistrements de cris de peur des parents signalant un danger. Les oisillons écloront avec retard, avec des spécificités physiques réduites et des attitudes craintives. Pour ma part, ma chère petite maman avait vécu à l’époque ou des prêtres disaient que l’âme de l’enfant apparaissaient plusieurs semaines après la conceptions, et ainsi pouvaient justifié des fausses couches provoquées. Ma chère maman souvent me disait, sans malice, avec un grand sourire et plein d’affection : toi tu es tenace, pendant que je te portais, j’en ai soulevé des armoires pour te faire partir, mais toi tu as tenu bon. Oui en effet j’ai tenu, mais il est certain que j’ai gardé des séquelles, ce qui explique mon physique chétif et mes attitudes craintives de mon enfance. J’avais une prédisposition de proie, cela n’a pas aidé. A sa naissance, l’aîné reçu les prénoms de Eric, Gimes, Nicolas, ceux du père et du grand-père, le cadet ceux de Thierry, Serge, celui de l’oncle par alliance.

Comme par malheur, je suis né le troisième d’une fratrie de trois enfants, c’est souvent le plus mauvais rang. C’est pire que d’être enfant unique, on devient l’exclus qui voit les deux autres s’amuser et ne pas partager avec eux. Déjà saint Augustin disait que le monde des enfants était cruel. Il existe maintenant de très nombreuses d’expériences de cyberball [Williams 2009] consistant à faire jouer des jeunes chacun sur un ordinateur à un jeu de balle. Le programme au bout de quelques minutes prend la main et fait croire à un participant que ses partenaires de jeu ne veulent plus lui passer la balle. Nous voyons ainsi que l’ostracisme, l’exclusion, la mise en solitude, en réclusion est une grande cause de douleur. Une vidéo montrera à ceux d’entre vous qui ont du cœur de voir la souffrance causée par l’exclusion. Des moralistes pourront dire que ce jeune manque de force de caractère et devrait prendre sur lui-même. Que les joueurs ne sont pas tenus à le faire jouer avec eux. Mais lorsque nous entendons Notre Seigneur dire : Mon âme est triste jusqu’à la mort, nous oublions la suite, que l’on traduit pas : restez ici, demeurez ici, qui se dit en latin : sustinete hic. Le premier terme appel à une aide active, de défense, le deuxième terme demande une présence, comme un appel : ne me laissez pas seul.

Bien que je n’ai eu que du réel respect et de l’affection pour mon frère et ma sœur jusqu’au moment de ce que m’a rapporté ma nièce, je n’avais pas de bons souvenirs de mes relations avec eux dans mon enfance. Bon les relations que nous avions toujours eu sont les mêmes que maintenant, ils ne s’intéressent pas à ce que je fait, je peux les voir se parler en direct ou téléphoner ou se déplacer pour se voir, mais ils ne le font avec moi, sauf exception.

J’ai eu aussi de mauvais souvenirs, les plus anciens c’est dans mon enfance, je cachais mes bonbons, et ma sœur les cherchait et venait me les prendre. Cela me faisait souffrir et pleurer, c’est peut-être à ce moment que son plaisir de m’imposer des sévices devint un automatisme pour elle. Un autre souvenir qui me resta gravé. Lorsque nous avions quitté la France pour aller en Guadeloupe, j’ai gravé le souvenir de ma sœur et de mon frère me tirant sur une plage pour me mettre à l’eau, je pleurais, criais, eux ils riaient, depuis je n’ai jamais supporté de me baigner dans une plage ou une piscine. Maintenant je suis sur que c’est la sœur qui avait amené mon frère à faire cela. Les années passant, la méchante petite fille s’est transformée en perverse femme cruelle. Sa stratégie fut les petits coups d’épingles plus efficace que les coups d’épée. Et elle s’est déchainée sans retenue à la mort de mon cher papa. Plein de souvenirs, livres, coquillages… dont je tenait furent jetés. C’était encore un acte de mise à mort, car nier son prochain c’est le tuer. Cela commença par la vente de la maison, je n’avais pas eu le temps de me déplacer chez le notaire, ni le temps de faire une procuration. La maison fut vendue pour en acheter une autre à ma chère petite maman. Cette maison fut aussi vendue, et tout l’argent se retrouva sur le compte de ma sœur. Une fois, plein de peine dans mon cœur, par malheur j’ai voulu avoir une explication, l’on m’a répondu : c’est ca, tu va nous faire un procès. Je suis une personne de devoir, ce que cette femme n’est pas, et jamais je ne ferais le moindre procès à ma famille.

Il y a eu le rouleau de pièce de 10 francs en argent que collectionnait mon cher papa, deux ou trois fois dans ces décennies je les ai demandé, l’on m’a dit que cela avait disparut. Et ce n’est qu’il y a un an de cela que j’ai appris que ces pièces étaient toujours présentent. On appelle cela un mensonge, le propre du diable. En allant au Tchad j’avais fait une crèche en ébène, c’était une véritable œuvre d’art, pour assouvir son plaisir de faire souffrir, cette fille du diable l’a jeté. Une fois dans les Landes ma deuxième nièce vient me voir pour me montrer un de mes albums de timbres qu’elle avait trouvé jeté dans la poubelle. Cela m’a particulièrement meurtri lorsque je me suis aperçu que tous les autres avaient disparus. Ces albums ne prenaient pas de place. Mais chaque timbre avait une histoire, souvent lié à mon cher papa qui me l’avait commandé ou apporté avec fierté de sa part car la philatélie était un de ses rêves d’enfant qu’il n’avait pas pu faire. Cette chère nièce eu de la compassion devant ma souffrance, de même que la toute petite nièce à l’époque. Mais il m’a semblé que pour certains membres de ma famille je faisais un caprice sur un sujet qui n’en valait pas la peine. Je ne peux pas me souvenir de tout ces vols, je ne parle pas de ceux dont je ne me suis pas aperçu, mais j’ai en mémoire les derniers.

Mais avant de vous en parler je parlerais de la mort de ma chère petite maman. Une personne qui dès l’enfance souffrit de n’avoir connu ni sa maman ni son papa. Elle n’avais pas connu de vie de famille, et par cela avait peut-être des déficiences dans l’éducation de ses enfants. Elle m’aimait, je l’aimais, je c’est pour cela que je n’ai vu en elle aucune déficiences. Maintenant je me souviens que plusieurs fois à mes retours de mes longues absences je retrouvais dans un état très dégradé maman qui était mise au soins de sa fille. Mon retour lui faisait faire de spectaculaires remontées. Longtemps j’ai pensais que c’était sa joie de me revoir. Maintenant je suis sûr que ses dégradations d’état étaient le fait d’une stratégie criminelle de sa fille. Le plus cruel se fit à Vichy, je pensais au début que la cohabitation des deux posée problème. J’avais trouvé une solution en confiant ma chère maman à un couple d’ami, Eric ancien aide soignant et Samira chrétienne égyptienne travaillant comme auxiliaire de vie. J’ai amené maman chez eux, mais une fois parti la fille du diable est allait recherchait sa proie. Pour elle la cohabitation ne posait pas de problème, bien au contraire elle permettait d’assouvir ses pulsions criminelles. Je me souviens de mes brefs passage à Vichy, de moments cauchemardesques. Le matin j’étais couché et l’infirmière passait pour faire prendre sa douche à maman. Après systématiquement l’infirmière disait à maman qu’elle allait l’habiller, et ma sœur arrivait avec voie mielleuse de bigote et disait à l’infirmière que c’était elle qui allait le faire. Une fois l’infirmière partie, l’indigne fille s’en allait et laissait sa mère toute seule assise au milieu du couloir à moitié nue. J’entendais ma chère maman dire : Chantaaaaaal, Chantaaaaal, s’il te plait vient m’aidé, elle répétait plusieurs fois cela. Ces des suppliques déchirantes, la fille du diable les écoutait, elles devaient lui causé de grandes joies. Alors je me levais, et j’habillais ma chère maman, et la fille du diable venait et me disait : il faut la laisser s’habiller toute seule, elle fait exprès. Après avoir assisté plusieurs fois à cela j’ai demandé aux infirmières de ne pas partir sans que ma chère maman fut habillée. Elles me dirent qu’elles aussi avaient remarqué ces maltraitances mais elles devaient se plier à ordre de ma sœur. C’est pour cette raison que j’ai contacté l’Epad de La Palisse pour qu’ils l’acceptent le plus rapidement. Je leur avait demandé de contacter les infirmières pour constater qu’il y avait urgence, car il y avait maltraitance. Une fois en maison de retraite, chaque fois que je passais la voir avec ma sœur, cette dernière refusait de monter voir sa mère dans sa chambre, elle préférait rester dans la voiture. Du témoignage du personnel soignant ce qui caractérisait ma chère petite maman, c’était sa gentillesse et son sourire. Telle était la vraie nature de cette petite maman qui fut tuer par la longue mise à mort faite par sa fille.

Après le décès de ma chère petite maman, une fois je suis revenu à l’appartement de Vichy dont j’étais dans le bail. Il y avait quand même quatre chambre et une grande cave. Elle était la seule à y vivre. Elle me fit enlever toutes mes affaires. En partant, dans la rue je vie une de mes amies qui voyant la voiture chargée me dit : votre sœur vous a fait faire votre paquetage, elle ne vous pas permis de laisser le moindre bouton de guêtre. Elle ne me permis pas de laisser le moindre linge de rechange. Bien qu’il y avait deux salles de bain, je dû enlever mon rasoir et avec la mousse à raser. Elle me fit passer devant plusieurs étagères et me montra des livres et autres objets en me disant sèchement : n’oublie pas cela. Elle conduisit à la cave et me fit enlever le moindre objet m’appartement. J’ai obéi, cela me faisait souffrir, mais elle avait programmé mon cerveau à lui obéir, comme elle l’a fait pour plusieurs membres de sa famille. Tout était là, sauf évidement un des livres que je tenais le plus : Je vous salue Marie, de Ida Bohatta-Morpurgo, avec de magnifiques illustrations. Ma sœur savait très bien que je tenais particulièrement à ce livre. J’avais même scanner les gravures, je voulais en faire une édition d’art, j’avais demandé à ma chère belle sœur de me faire des enluminures. Celle-ci m’en avait fait deux exemplaires différents sur du papier de luxe. Mais ces deux exemplaires aussi ont disparus.

Lorsque je suis arrivé à La Fantaisie le début du séjour c’est bien passé. Et l’hiver est venu, je n’avais pas gardé les moyens de m’acheter du bois. A 55 ans étant cardiopathe, cela n’est pas du meilleur effet. Je souffrais vraiment du froid. Je sais qu’à un moment mon frère s’est posé la question de savoir s’il fallait me passer du bois. A ce moment ma sœur lui déclara qu’il ne fallait surtout pas le faire. Car je possédais sur un compte bancaire caché plusieurs dizaines de milliers d’euros mais que je ne voulais pas les utiliser. Ceci fut un mensonge conscient dans le but de nuire. Elle qui a de très bonne connaissance médicale, elle qui est très frileuse, le fait de laisser son petit frère dans le froid alors qu’il a des problèmes cardiaques, cela est un acte criminel. Malgré ces souffrances, j’étais heureux d’être dans cette maison avec ma chère famille. Il est à noter que cette propriété est d’une rare beauté. Au bord d’une route ou peu de voitures passent, en pleine campagne, une vue d’une grande prairie avec au fond une forêt, tous mes amis ayant visité cette propriété furent étonnés de sa beauté. Tout le monde dans la famille y vivait bien et y était fier d’y demeurer. Mais cela changeât, ma sœur me voyant heureux dans cette maison familiale, cela lui est devenu insupportable. Elle savait que mon frère est un homme bon, et ne me chasserait pas de cette maison. Quelques temps après mon arrivé j’ai entendu mon frère dire qu’il se trouvait mal dans cette maison alors que je l’y avait vu heureux. J’en ai parlé à ma sœur qui me dit qu’en effet cette maison était surement maudite et que les propriétaires précédents y avaient dû faire des actes très mauvais. Pourtant cette maison fut bénite par un prêtre de la Fsspx. Et je vis mon frère et mon neveu manifester de plus en plus de mal-être dans cette maison. Maintenant mon frère a décidé d’installer sa famille à Vichy, pas trop loin de l’appartement de ma sœur. En tant que catholique rien de rationnel ne peut expliquer la phobie d’une maison qui aurait était bénite par un prêtre et consacré à la Sainte Vierge. Maintenant le seule explication que j’ai, serait que ma sœur ai amené à penser que cette maison est maudite. Pour elle, la grande beauté de cette maison ne compte pas, de la même grande somme d’argent qui a était dépensé, les sacrifices de toute une vie de travaille et d’économie de mon frère et de son épouse ni même l’unité de la famille. Ce qui prime pour elle c’est la mise à mort de son frère cadet.

J’avais un missel de fidèles, j’y tenais particulièrement car il m’avait été passé par un ami qui depuis est décédé. Ma sœur avait déjà un missel, elle avait même offert un missel à mon frère et aussi à son premier neveu. Donc l’on peut dire qu’elle ne manquait pas de missel. Un jour je m’aperçois que mon missel avait disparue, vu qu’elle ne pouvait-être que la seule à l’avoir prit. En toute simplicité elle me dit qu’elle l’avait pris, amené à Vichy, laissé à la chapelle ou elle va à la messe le dimanche, et elle ne l’a pas retrouvé. J’ai connu le cas de personne qui par mégarde, et petit indélicatesse s’approprié un briquet ou un stylo. Cela n’est pas le cas. Ce n’est pas par mégarde qu’elle a mis ce livre dans sa valise en partant sans en demander l’autorisation. Mais le laisser dans une chapelle publique elle qui est très précautionneuse, aggrave la situation. Une fois qu’elle c’est aperçu de la disparition du missel, elle aurait dû demander au prêtre desservant la chapelle de faire une annonce ou écrire un mot pour pouvoir récupérer le missel. Ceci ne peut qu’exprimer une ferme volonté de faire disparaître le ce livre de messe. Lorsqu’elle est revenue à La Fantaisie, le minimum de correction aurait été de me prévenir de la disparition du missel. Il fallu que je lui pose la question si c’était elle qui avait prit le missel. Sans la moindre gène, elle me déclara que c’était elle qui l’avait prit, laissait sur un banc à la chapelle et que le missel avait disparut. Pas la moindre excuses, ni même la proposition d’indemnité pour que j’en rachète un autre. Toute autre personne que moi se serais emportais et mis en colère. Pour ma part je me mis à penser au moment au mon vieil ami Roger m’avait remis ce livre pieux qu’il avait reçu en rentrant au petit séminaire. Cela me fit beaucoup souffrir en silence. Cette femme d’une grande intelligence sait bien utiliser ses talents pour faire souffrir.

Lors de son dernier séjour à La Fantaisie, plusieurs choses ont disparus, je n’en retiendrais que deux. Une paire de gants de chantier que ma belle sœur m’avais acheter pour arracher les laitues sauvages qui envahissent le devant de la maison. Je m’en servais presque tous les jours, ça me faisait faire un peu d’activité. J’en étais contant. Je ne suis pas ordonné, c’est un mystère pour personne, en général, une fois utilisé je les laissais sur la terrasse. Mais à l’arrivée de ma sœur pour prendre ses quartiers d’été, ces gants ont disparus. Autre chose, j’avais acheté une machine pour remplir les gélules vides, j’en étais très fier, je lui avait montrer en lui disant qu’elle me permettrait d’acheter des vitamines, du magnésium et autres compléments alimentaires et de pouvoir les mettre en gélules. Ce qui me reviendrais moins cher que de les acheter en pharmacie. Seule ma maléfique sœur a pu faire disparaitre cette machine à remplir les gélules cela dans le but de me faire souffrir, de me déstabiliser d’avantage, de dégrader ma santé psychique et de me voir souffrir et me mettre à mort.

Certains ont des plans de carrière, je pense qu’elle a eu un plan de chasse dans sa vie. Après avoir mise à mort sa mère, elle vas faire de même pour son frère. La troisième personne dans la liste sera sa belle sœur. Elle ne lui pardonne pas de lui avoir prit une partie de l’affection que son frère avait pour elle. Et je pense que la dernière personne qui sera dans ce tableau de chasse sera son premier frère. Elle ne supportera pas que celui-ci lui survive. Dans quelques années mon cher frère aura des problèmes de santés qui seront causés par la manipulation psychologique que lui fera subir sa grande sœur. Ainsi des familles naissent… ainsi des familles meurs… la règle de survie est de toujours soutenir le plus faible… ne plus le faire c’est courir à la mort…

L’on me dira que rendre publique cette histoire n’est pas chrétien et charitable. A cela je citerais l’Evangile :

Si ton frère a péché contre toi, va, et reprends-le entre toi et lui seul. S’il t’écoute, tu auras gagné ton frère. Mais, s’il ne t’écoute pas, prends encore avec toi une ou deux personnes, afin que toute l’affaire soit réglée par l’autorité de deux ou trois témoins. S’il ne les écoute pas, dis-le à l’Eglise; et s’il n’écoute pas l’Eglise, qu’il soit pour toi comme un païen et un publicain. En vérité, Je vous le dis, tout ce que vous lierez sur la terre sera lié aussi dans le Ciel, et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié aussi dans le Ciel. Mt 18,15-18.

 

 

 

 

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Frère Jérôme

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