Biodiversité comportementale

Biodiversité comportementale

Définition : la Biodiversité comportementale, ce sont des réflexions et des exercices de bien-être.

Ce n’est pas un système de pensée, ni une doctrine, ni une thérapie. 

Prérequis de réflexions

A.- Connaissance d’une réalité

La connaissance d’une réalité peut se faire dans deux démarche :

  • Volonté de comprendre (d’expliquer) : dans notre société occidentale actuelle c’est le mode privilégié. L’on veut comprendre, mais de même qu’une bouteille d’un litre ne peut comprendre deux litres de lait, notre capacité de connaissance ne peut pas comprendre beaucoup de réalités. D’ailleurs pour la plupart des individus, très peu se comprennent eux-même.
  • Volonté d’approche (de décrire) : il existe une réalité commune à beaucoup de cultures humaines, c’est le cœur. Voir avec les yeux du cœur, ou entendre avec les oreilles du cœur permet une approche de la réalité.

Il est préférable d’avoir une démarche de connaissance d’une réalité, surtout lorsque celle-ci porte sur un être humain et sa souffrance, par son approche que par une volonté de comprendre. Comprendre, c’est définir, et définir c’est finir.

B.- Causalité et corrélation

L’on pourra objecter que les réflexions de la Biodiversité comportementale n’étant pas fondées sur des causalités, elles n’ont pas de valeur scientifique. A cela l’on répondra que les neurosciences et de nombreuses autres sciences sont surtout basées sur des corrélations.

Exemple :

  • Il n’existe pas de causalité entre le cancer des poumons et le fait de fumer pour les êtres humains, mais un grand nombre de corrélations font le lien entre cette activité et cette maladie.
  • Il n’existe pas de causalité entre les phases de la lune et la croissance des végétaux, mais de nombreuses corrélations tirées des diverses cultures humaines.

Remettre en cause la valeur des corrélations c’est remettre en cause la valeur de la statistique et de toutes les sciences qui reposent sur ces statistiques.

 

Expériences de neurosciences

Automatismes biologiques
Le vivant de la bête à l’être humain agi selon des automatismes biologiques communs. En cas de douleur les possibilités sont : la fuite, l’agression en cas de vie commune ou l’inhibition.

Henri Laborit

Paroisse de Bourbon l’Archambault

Dans ce que l’on pourrait appeler la psychologie sociale, nous connaissons deux expériences, celle de Milgram (1960-1963) montrant qu’un individu peut devenir tortionnaire presque à son insu, par des ordres qui lui serait donné, et celle de Zimbardo (1971), ou un individu ordinaire va inventer des sévices par la liberté qui lui ai donné. Dans le cas de la deuxième expérience, même le psychologue se laisse aller à des excès, mais au bout de 5 jours, une étudiante prend conscience de la gravité de la situation et demande au psychologue d’arrêter, ce qu’il fera. Ces deux expériences me permettent de parler, du cas de la Paroisse de Bourbon l’Archambault. Plus qu’une simple expérience, c’est une réalité que j’ai vécu pendant plusieurs années. Je parlerais de mon expérience dans cette paroisse comme cas contrait, mais je sais n’être pas le seul dans mon cas. J’ai plusieurs témoignages de personnes ayant quitter la pratique religieuse à cause des blessures qui leur ont été causés. Dans cette paroisse, mais aussi dans d’autres paroisse du diocèse, mais aussi dans d’autres paroisses d’autres diocèses. Cette paroisse représente le cas de 80 % des paroisses de France ou j’ai vécu et dont j’ai eu des échos.

La Paroisse de Bourbon l’Archambault est une communauté de chrétiens, soumise à l’Eglise catholique romaine. Lorsqu’un individu s’y rend c’est pour vivre les principes évangéliques du : aimez-vous les uns les autres, et : ne fait pas à ton prochain ce que tu ne voudrais pas qu’il te fasse.

Pourquoi je vais à la messe à la Paroisse de Bourbon l’Archambault ?

 

Parce que je suis catholique, à ce titre l’Eglise romaine me fait obligation sous peine de damnation éternelle :

  • d’aller à la messe tous les dimanches ;
  • de me soumettre aux autorités ecclésiales de mon diocèse, curé de paroisse et évêque ;
  • de croire que ces autorités sont bienveillantes et œuvres pour mon bien.

Séquestration mentale et sévices psychologiques